T'avais encore grossi. Cette fois, la douleur s'était manifestée dans ton sommeil. Elle avait été encore pire si tant est que ce soit possible. Une nouvelle fois, ta peau s'était comme déchirée et tu imaginais déjà avec horreur les vergetures que toute cette expérience laisserait sur ton corps. T'étais fatiguée. Epuisée même. Et tu avais mal. Comme si tout ton être se rebellait contre ton état. Tes hurlements de douleur avaient réveillés @Cole. En cette fin de matinée, c'était à se demander lequel de vous deux avait le teint le plus cadavérique. Au moins étiez vous assortis.
T'étais d'humeur maussade. Pour le moment. Tes changements d'humeur étaient devenus aussi fréquents que les marées et, en ce moment, tu étais prise d'un élan de nidification inattendu. T'avais rangé avec soin ta chambre et retrouvé un morceau de carte que tu avais trouvé plus tôt. Depuis, il t'obsédait. Tu voulais découvrir ton environnement. Après tout, n'était-ce pas ici que tu allais devoir accoucher? A la vitesse à laquelle tu étais passée du têtard à la pastèque puis à la baleine, d'ici une semaine, tu accoucherais ou tu exploserais. Et ça te flanquait une frousse monstrueuse car rien de tout cela n'était normal.
On ne voyait que ça. Ce ventre énorme qui dépassait de tes jeans que tu ne pouvais plus fermer et de tes tee-shirts qui, s'ils arrivaient à contenir ton augmentation mammaire, avaient renoncé à essayer e couvrir la protubérance qui te servait de ventre. Tu te déplaçais avec la grâce et l'élégance d'un résident de gériatrie, carte et loupe à la main. A la recherche de ce lieu inconnu.
@Game MasterT'étais d'humeur maussade. Pour le moment. Tes changements d'humeur étaient devenus aussi fréquents que les marées et, en ce moment, tu étais prise d'un élan de nidification inattendu. T'avais rangé avec soin ta chambre et retrouvé un morceau de carte que tu avais trouvé plus tôt. Depuis, il t'obsédait. Tu voulais découvrir ton environnement. Après tout, n'était-ce pas ici que tu allais devoir accoucher? A la vitesse à laquelle tu étais passée du têtard à la pastèque puis à la baleine, d'ici une semaine, tu accoucherais ou tu exploserais. Et ça te flanquait une frousse monstrueuse car rien de tout cela n'était normal.
On ne voyait que ça. Ce ventre énorme qui dépassait de tes jeans que tu ne pouvais plus fermer et de tes tee-shirts qui, s'ils arrivaient à contenir ton augmentation mammaire, avaient renoncé à essayer e couvrir la protubérance qui te servait de ventre. Tu te déplaçais avec la grâce et l'élégance d'un résident de gériatrie, carte et loupe à la main. A la recherche de ce lieu inconnu.